Scraper, oui… mais avec discernement.

Retour d’expérience après 3 mois de bootcamp à la Rocket School

Durant ces trois derniers mois de bootcamp à la Rocket School, une grande partie de notre travail a tourné autour d’un mot-clé : la data.

Récupérer des bases, scraper les bons noms d’entreprise, dénicher les bons contact...
C’était le nerf de la guerre pour réussir nos trois missions en conditions réelles avec des entreprises partenaires.

Mais très vite, une réalité m’a sauté au visage : on peut capter énormément de données parfois trop.


Tu captes ? Oui. Mais après ?

Scraper 500, 1000, 2000 entreprises, c’est grisant.
On a cette sensation de puissance, d’efficacité.

Mais une fois la data en main… on en fait quoi ?

Le vrai travail commence après le scraping.

Trier, nettoyer, enrichir, analyser…
J’ai vite compris qu’il valait mieux capter moins de données, mais mieux les exploiter.

Et dans ce travail, l’humain a encore une vraie place.


L’humain derrière les leads

J’ai appris à apprécier ce temps d’enquête.

Aller voir les profils LinkedIn manuellement,
Observer le parcours d’un dirigeant,
Visiter le site web de l’entreprise…

Il y a une richesse précieuse dans ces démarches.
Parce que derrière un lead, il y a un humain.

Et parfois, comprendre qui on contacte change tout à comment on le contacte.


En bref

Scraper, oui.
Mais scraper avec discernement, avec un œil critique, une analyse humaine, un regard curieux.
C’est là, à mon sens, que la vraie valeur se crée.


Et toi, t’en penses quoi ?

Scraper, oui… mais comment ? Et jusqu’où aller ?

N’hésite pas à t’abonner sur mon site scrapaud.io
pour suivre mon trajet dans le monde du growth hacking, découvrir mes outils maison, et en discuter ensemble.

(Les commentaires sont réservés aux abonnés… et une newsletter arrive très bientôt 🐸)

Read more